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(Je m’appelle Lilli. Je suis dans une maison de retraite, à Minneapolis, dans l’État du Minnesota, aux États-Unis. Nous sommes inondés d’énergie électromagnétique, dans cet endroit, à cause d’un vieux câblage qui ne peut pas gérer la technologie, et cela pénètre dans ma chambre la nuit, depuis un an et demi. J’ai développé des kystes ovariens, de la cataracte, des brûlures dans les parties de mon corps… J’étais censée être formatrice en informatique. Devinez quoi : ça n’a pas marché ! Nous devons faire en sorte que cela ne se reproduise plus. Nous ne sommes pas les seuls à y être confrontés, mais nous devons nous faire entendre. Même si nous avons peur. Des gens gagnent de l’argent en faisant du mal à nos corps physiques et à d’autres parties de la nature. Nous devons agir ensemble. Et oui, j’ai signé l’appel pour que l’électrohypersensibilité soit une urgence humanitaire. Faisons-le ensemble, les amis ! Ouvrons nos voix ! Restez en sécurité !)
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(Je m’appelle Lilli. Je suis dans une maison de retraite, à Minneapolis, dans l’État du Minnesota, aux États-Unis. Nous sommes inondés d’énergie électromagnétique, dans cet endroit, à cause d’un vieux câblage qui ne peut pas gérer la technologie, et cela pénètre dans ma chambre la nuit, depuis un an et demi. J’ai développé des kystes ovariens, de la cataracte, des brûlures dans les parties de mon corps… J’étais censée être formatrice en informatique. Devinez quoi : ça n’a pas marché ! Nous devons faire en sorte que cela ne se reproduise plus. Nous ne sommes pas les seuls à y être confrontés, mais nous devons nous faire entendre. Même si nous avons peur. Des gens gagnent de l’argent en faisant du mal à nos corps physiques et à d’autres parties de la nature. Nous devons agir ensemble. Et oui, j’ai signé l’appel pour que l’électrohypersensibilité soit une urgence humanitaire. Faisons-le ensemble, les amis ! Ouvrons nos voix ! Restez en sécurité !)