KEITH, Synthetic EMF Poisoned – USA

Lire le témoignage
Les intrusions sans fil nuisent à la tranquillité de nos maisons ! Cette année, je fête mes 40 ans de survie à l’empoisonnement électromagnétique – et j’utilise ce terme à dessein. C’est une bien meilleure étiquette que « électrohypersensibilité », car il est mal vu de blâmer la personne empoisonnée. À partir de la fin du XIXe siècle, cette maladie a été appelée neurasthénie. Freud a tenté de la rebaptiser « trouble anxieux », étiquette que les médecins m’ont collée pendant plus de trente ans et qui, soit dit en passant, a disparu après que j’ai commencé à vivre dans un environnement sans radiofréquences. Dans les années 1920, on parlait de maladie des ondes radio. Dans les années 1950, c’était la maladie des micro-ondes. Dans les années 1990, l’électrohypersensibilité (EHS). Et plus récemment, un terme ridicule – que je ne répéterai même pas – qui ajoute le mot « syndrome » comme une ultime insulte. Il est temps d’arrêter de détruire la vie sur terre avec ces émissions synthétiques. Et oui, j’ai signé l’appel : L’électro-hypersensibilité est une urgence humanitaire.